Il était une fois, une jeune fille de quinze ans nommée Jessica. Elle allait comme toutes les filles de son âge, au lycée Went Ouart à Londres. Sauf qu’elle  était passionnée de livres : elle donnerait sa vie pour aller au "paradis des livres". Un beau matin d’été, elle resta seule alors que toutes ses amies allaient à la foire ; elle préférait la solitude. Elle  alla dans le gigantesque pré Rolinwg, connu pour ses magnifiques fruits en toute saison. Elle allait souvent là pour lire, ou simplement pour entendre les oiseaux chanter. Lorsque qu’elle aperçut deux petites chenilles à peine ; ça avait beau n’être que de simples chenilles, Jessica les trouvait presque humaines. Puis elle songea :

« Je ne suis jamais allée au-delà de ce pré ; il pourrait il y avoir de très belles choses… ». Elle enleva ses chaussures, les prit avec elle et courut en direction d’une éventuelle sortie. Auparavant, sage comme elle était, elle n’aurait jamais fait ça surtout avec son affreuse gouvernante : mademoiselle Partich qui la surveillait tout le temps. C’est pour ça qu’elle se rendait souvent à ce pré. Elle traversa une rangée d’extraordinaires arbres qu’elle n’avait jamais vus avant. Elle remit ses chaussures, car le sol devenait dur et caillouteux. Elle goûta un fruit succulent qui devait être un mélange de pêche et de framboise.

 

Elle regarda dans sa poche pour voir si les deux petites chenilles y étaient et elle poussa un petit « ouf !» de soulagement. C’est à ce moment là qu’elle les nomma Oscar et Alphonse. Devant elle se dressait un gigantesque manoir. Jessica ouvrit prudemment la porte. Ce manoir devait dater du16ème siècle, pourtant 400 ans plus tard il paraissait comme neuf, sauf qu’il y avait une quantité impressionnante de ronces. De plus tout ce qui y était entré n’était jamais ressorti.

Jessica aperçut une ombre qui lui fit froid dans le dos. Elle monta les énormes escaliers de pierre et arriva dans une immense pièce où se trouvaient des objets précieux. Dans une sorte de statue en bronze, elle trouva un parchemin, elle le prit, une bibliothèque avec des milliers de livres. Ses livres était anciens, tous épais et numéroté de un à un million. Elle lit le parchemin :

Le livre n° 217 tu liras plus tard et tu périras. Signé M. Liden.

 

Elle jeta ce parchemin dans la corbeille car il était en train de brûler ; puis courut jusqu’à la sortie. Elle traversa le pré le plus vite qu’elle pouvait, car la nuit tombait. Elle s’adossa  contre un arbre, et découvrit quel avait besoin de le lire, sa curiosité maladive prenait le dessus.

 

Le lendemain  après le mariage de sa tante, elle viendrait et elle lirait ce livre. Le lendemain après s’être ennuyée au mariage de sa tante Betty, elle fila en direction du pré. Elle savait qu’il était temps de les renvoyer. Les chenilles se tortillèrent dans sa main, en lui disant « au revoir !» .Elle se dit qu’elle devait mieux dire adieu et cela la fit pleurer. « Bon » ce dit-elle il faut que j’y aille, mais ce n’était pas très pratique car elle ne s’était pas changée depuis le mariage. Elle arriva au manoir, et remarqua que quelque chose avait changé.

« Sans importance », dit-elle à voix haute comme pour ce donner du courage. Le livre 217, comme tous les autres avait un nombre en argent mais surtout il était très haut. Heureusement Jessica était une championne d’escalade et avait remporté plusieurs prix.Bon, revenons à notre histoire, dans une petite pièce avec un lit  un miroir et une petite table avec grosse lampe de chevet. Elle se regarda dans le miroir et toucha son reflet pour s’assurer qu’elle était là ; soudain la lampe s’éteignit et le miroir se brisa. Elle entendit une voix fantomatique qui disait :

-« Ne fait pas cela Jessica, réfléchis y par deux fois. »

Quand elle se retourna, il n’y avait personne et tout était en place. C’est un mystère se dit elle, mais comme si de rien n’était elle s’assit sur le lit et commença sa lecture silencieuse. Ce livre la passionnait elle se sentit aussi bien que si elle n’avait pas lu le parchemin. Elle arriva au milieu et un tas de ronces surgit. Ses ronces lancèrent un rayon super-sonic. Elle mourût sur le coup.

 Il l’avait prévenu pour le livre, maintenant c’était trop tard. Encore maintenant Jessica repose sur le lit. On dit même que son fantôme hante le manoir.

La malédiction de Jessica.

 

Il était une fois, une jeune fille de quinze ans nommée Jessica. Elle allait comme toutes les filles de son âge, au lycée Went Ouart à Londres. Sauf qu’elle  était passionnée de livres : elle donnerait sa vie pour aller au paradis des livres. Un beau matin d’été, elle resta seule alors que toutes ses amies allaient à la foire ; elle préférait la solitude. Elle  alla dans le gigantesque pré Rolinwg, connu pour ses magnifiques fruits en toute saison. Elle allait souvent là pour lire, ou simplement pour entendre les oiseaux chanter. Lorsque qu’elle aperçut deux petites chenilles à peine ; ça avait beau n’être que de simples chenilles, Jessica les trouvait presque humaines. Puis elle songea :

« Je ne suis jamais allée au-delà de ce pré ; il pourrait il y avoir de très belles choses… »Elle enleva ses chaussures, les prit avec elle et courut en direction d’une éventuelle sortie. Auparavant, sage comme elle était, elle n’aurait jamais fait ça surtout avec son affreuse gouvernante : mademoiselle Partich qui la surveillait tout le temps. C’est pour ça qu’elle se rendait souvent à ce pré. Elle traversa une rangée d’extraordinaires arbres qu’elle n’avait jamais vus avant. Elle remit ses chaussures, car le sol devenait dur et caillouteux. Elle goûta un fruit succulent qui devait être un mélange de pêche et de framboise.

 

Elle regarda dans sa poche pour voir si les deux petites chenilles y étaient et elle poussa un petit « ouf !» de soulagement. C’est à ce moment là qu’elle les nomma Oscar et Alphonse. Devant elle se dressait un gigantesque manoir. Jessica ouvrit prudemment la porte. Ce manoir devait dater du16ème siècle, pourtant 400 ans plus tard il paraissait comme neuf, sauf qu’il y avait une quantité impressionnante de ronces. De plus tout ce qui y était entré n’était jamais ressorti.

Jessica aperçut une ombre qui lui fit froid dans le dos. Elle monta les énormes escaliers de pierre et arriva dans une immense pièce où se trouvaient des objets précieux. Dans une sorte de statue en bronze, elle trouva un parchemin, elle le prit, une bibliothèque avec des milliers de livres. Ses livres était anciens, tous épais et numéroté de un à un million. Elle lit le parchemin :

Le livre n° 217 tu liras plus tard et tu périras. Signé M. Liden.

 

Elle jeta ce parchemin dans la corbeille car il était en train de brûler ; puis courut jusqu’à la sortie. Elle traversa le pré le plus vite qu’elle pouvait, car la nuit tombait. Elle s’adossa  contre un arbre, et découvrit quel avait besoin de le lire, sa curiosité maladive prenait le dessus.

 

Le lendemain  après le mariage de sa tante, elle viendrait et elle lirait ce livre. Le lendemain après s’être ennuyée au mariage de sa tante Betty, elle fila en direction du pré. Elle savait qu’il était temps de les renvoyer. Les chenilles se tortillèrent dans sa main, en lui disant « au revoir !» .Elle se dit qu’elle devait mieux dire adieu et cela la fit pleurer. « Bon » ce dit-elle il faut que j’y aille, mais ce n’était pas très pratique car elle ne s’était pas changée depuis le mariage. Elle arriva au manoir, et remarqua que quelque chose avait changé.

« Sans importance », dit-elle à voix haute comme pour ce donner du courage. Le livre 217, comme tous les autres avait un nombre en argent mais surtout il était très haut. Heureusement Jessica était une championne d’escalade et avait remporté plusieurs prix.Bon, revenons à notre histoire, dans une petite pièce avec un lit  un miroir et une petite table avec grosse lampe de chevet. Elle se regarda dans le miroir et toucha son reflet pour s’assurer qu’elle était là ; soudain la lampe s’éteignit et le miroir se brisa. Elle entendit une voix fantomatique qui disait :

-« Ne fait pas cela Jessica, réfléchis y par deux fois. »

Quand elle se retourna, il n’y avait personne et tout était en place. C’est un mystère se dit elle, mais comme si de rien n’était elle s’assit sur le lit et commença sa lecture silencieuse. Ce livre la passionnait elle se sentit aussi bien que si elle n’avait pas lu le parchemin. Elle arriva au milieu et un tas de ronces surgit. Ses ronces lancèrent un rayon super-sonic. Elle mourût sur le coup.

 Il l’avait prévenue pour le livre, maintenant c’était trop tard. Encore maintenant Jessica repose sur le lit. On dit même que son fantôme hante le manoir.